Ichor Gods dies  |
| Sujet: V. HEART OF GOLD Jeu 20 Oct - 17:49 |
| Gods dies and everybody forget them Le commencement
De ses agates effilées, de ses doigts enchantés, de sa bouche peinte d’écarlate, de son teint gourmand, un lait délicieux, une carnation enivrante, Amaterasu, son manteau de laine sur ses épaules sacrées puisa les sens des hommes, écouta ces discussions, ces siècles s’écroulant, ces guerres meurtrières, ces âges de paix avant de descendre de son triste socle de déité. Se mêler dans la foule des mortels, les soigner, donner des pétales de bonheur par un sourire, par des détails à l’apparence négligeable, offrir l’aumône à cette misérable humanité fut ses pensées. Le temps s’aiguisa, elle voyagea, parcouru le monde délicat aux senteurs sauvages, observa ces êtres intelligents, dotés de raison, mais constata la racine maléfique plantée, ronces aux veines pourpres de ces exigeants empereurs. Alors les entreprises, celles détruisant cette nature si chère à son cœur trouva une place de banni dans ses exigences. Elle n’alla voir les autres dieux qu’elle supposa eux aussi perdu, à la dérive d’un monde fascinant, elle se fit connaitre par des messages, par une patience de sainte. De ses bras amour, elle remplit le calice de l’utopie à l’opposé de ces trois autres armées se construisant dans la haine et la déchéance de cette essence divine. Les moyens abordés
C’est une armée qui ne se considère pas comme telle, comme un flambeau de tendresse, comme une vasque de douceur, elle forme une famille d’être magiques, c’est un clan lié par l’affection, l’enchantement de sentiments positifs. De plusieurs dieux l’ayant rejoint dans cette construction d’un jardin d’Eden, ils prétendent à la discussion, à la compréhension, à l’altruisme envers ces pauvres hères, passants dans la vie pour un bref moment éphémère. Ils n’emploient pas la violence, ces coups et blessures, ces maux et peines que d’autres érigent en fierté suprême, ils utilisent le langage, les explications, ces corolles de démagogie. D’autre moyen, plus vicieux cependant quand l’enjeu est important consiste à pénétrer l’esprit humain, par le chantage, par les menaces enroulées dans l’hypocrisie, ils tentent de faire fléchir la victime.Où les trouve-t-on ?
Ils se mêlent dans la foule du marché de l’art, galeristes, conservateurs, artistes, par des toiles, des livres, des films ils envoient des messages ; ils gagnent la croyance des hommes en tissant de nouveaux mythes. Chaque dieu de ce clan est lié à un monde qui lui sied à chacun, un univers de pensées, une planète de songes, cauchemars, rêves insistants qu’ils exhibent à la face des gens. Dieux supportant mieux que leurs cousins, leurs frères, leurs sœurs ; cette société athée, ils sont résiliant, recueillent une volonté de fer, ce sont des caméléons aptes à survivre à l’avenir incertain. Car ils se sont installés, ils vivent à présent comme ces hommes, plus que ces mortels, ils offrent leur pouvoir pour la communauté. Ils n’entendent les critiques à leur égard, et, quelques part savent qu’ils représentent un danger. Ils souhaitent gagner par la psychologie, cette utopie du progrès. Les valeurs à défendre
Ils s’agenouillent devant la beauté de l’imaginaire, fascinés par ces essences invisibles qui semblent créer le monde, mensonges que politique édictent mais poésie que les rares élus humains fabriquent, ces dieux protègent le sacré d’une conversation, d’une conscience, d’une réalité onirique. Ils sont ivres d’esthétique, saoulent d’une imagerie fabuleuses, convoitent ces filles et fils de la nature, ceux aux doigts et au crâne de fée qui proposent la solution absolue sans châtiments et tortures. Ils gardent l’esquisse empêtrée de perspective d’une cité idéale, celle-là même qu’ils désirent façonner, un berceau pour l’humanité généreuse. |
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