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Les amitiés naissent souvent d'un rien -  Pitón.

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Søren Madsen
Søren Madsen
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Sujet: Les amitiés naissent souvent d'un rien -  Pitón.
Jeu 3 Nov - 11:22





Les amitiés naissent souvent d'un rien



Elle se dressait devant lui majestueuse et gigantesque, une forêt ancestrale qui n’attirait désormais que des curieux avides d’aventure. Austère, froide, quand l’hiver pointait le bout de son nez, elle demeurait pour Vali une véritable aubaine. Son besoin d’espace se devait d’être assouvi. Souvent, mais moins qu’avant, il sentait ce besoin vital que quitter le capital pour s’enfoncer au cœur de la nature, un appel du loup qui ne pouvait refuser. Un moyen d’échapper à sa colère quand celui-ci prenait de lui-même le contrôle. En venant ici et en le laissant sortir, il possédait plus de contrôle, même si cela restait assez basique. Autant dire qu’il valait mieux que le brun ne croise personne durant cette période, quand un être humain passait dans son champ de vision, la malédiction s’emparait de lui et il ressentait ce besoin vital de tuer. Désormais, il arrivait un peu mieux à se contrôler, il choisissait la fuite, mais cela n’était possible que parce que l’immensité de la forêt lui permettait. Il savait parfaitement que si on l’acculait, il ne posséderait plus le moindre contrôle. Le parc national de Tyresta, à une vingtaine de kilomètres de Stockholm offrait de nombreux avantages à Vali, en particulier le peu d’absence humaine. Il gara sa voiture sur le parking avant de partir sur les chemins balisés, il croisa quelques randonneurs avides de découvertes, tous assez surpris de l’absence de Sac sur le dos du jeune garçon. Vali n’en avait pas besoin, il savait parfaitement où il allait et le temps que ça durerait. Sans oublier que contrairement aux êtres humains dans quelques temps, il serait bien mieux équipé qu’eux pour supporter la rudesse hivernale. Après une heure de marche, il quitta le chemin balisé, pour rentrer plus profondément dans la forêt. Il lui fallut 45 minutes de plus de marche pour enfin décidé à laisser exprimer le loup en lui. Vali n’appréciait pas vraiment la transformation, mais désormais la douleur était moindre. La première fois il avait cru que jamais son corps n’y résisterait, ses os s’étaient brisés, la douleur avait été insoutenable. Désormais, il ne ressentait plus que des picotements désagréables. Le jeune Ase était conscient qu’il s’agissait sûrement d’une question d’entrainement et qu’il finirait peut-être à réussir par se contrôler, mais pour cela il devait s'entraîner. C’était là le problème ? Comment faire pour entraîner un loup rongé par la folie, qui plus est gigantesque ? La réponse lui était apparu quelques mois plutôt, quand lors d’une de ses balades sous sa forme animale, son odorat l’amena à la rencontre d’une étrange créature. Vali n’avait jamais rien ressentit de telle et sous sa forme animale, il demeurait aussi curieux que d’accoutumé. C’est ainsi, que son regard se posa pour la première fois de sa vie sur un dragon. Pourtant, il en avait vu des créatures gigantesques et étrange, mais pas ça…, jamais de Dragons. Possédant le don de communiquer avec toute espèce animal, ce fut Vali qui entama la conversation en premier, curieux de ce qui se trouvait devant son museau. Il ne fallut cependant pas longtemps pour que le jeune garçon perde le contrôle et se retrouve à lancer une attaque saugrenue sur l’énorme reptile. Sauf que cette fois-ci, le retour de bâton fut rapide, Vali se retrouve sans qu’il ne comprenne vraiment pourquoi sous la gigantesque patte de l’animal, écrasée entre celle-ci et la neige fraîche récemment tombée. Une action qui permet à l’Ase de reprendre le contrôle sur le loup. C’est à ce moment-là qu’il a tout simplement proposé au dragon, de lui enseigner tout ce qui savait, de lui servir de partenaire d’entrainement, récolter sa rage pour apprendre à la contrôler. Tout aurait pu pousser la créature légendaire a refusé l’aide demandée par Vali, mais il ne le fit pas. Au contraire, il lui proposa de se retrouver une autre fois, un autre jour, et c’est ce qu’ils firent. Ainsi plusieurs fois par mois, les deux se retrouvaient pour laisser s’exprimer toute cette animalité, créant par la même un début d’amitié. Ces entraînements ont été extrêmement bénéfique pour Vali, il contrôle désormais beaucoup mieux le loup, même si c’est loin d’être parfait, disons qu’il s’agit d’une avancée considérable.

Le corps humain vient de laisser place à l’animal. Un loup gigantesque de la taille d’un cheval dont les pattes s’enfoncent sans faire le moindre bruit dans la poudreuse. Étrangement, quand la colère ne s’empare pas de lui, Vali se sent bien ainsi, il se sent protégé et surtout il sent libre. Le loup finit par s’arrêter, il hume l’air, laissant son instinct identifié les odeurs, jusqu’à trouver celle que possède  Pitón. Elle est assez indéfinissable, mais du coup ça la rend facilement reconnaissable. Abandonnant son allure lente, l’animal se met à trottiner avant de s’immobiliser, le regard happé par un groupe de biches en contre bas. Non, il ne pense pas à les dévorer, il a bien mangé avant de venir, histoire de ne pas ressentir le besoin de chasser. Il se contente de les observer pendant une longue minute, dos au vent, elles ne l’ont pas remarqué. Vali a toujours aimé la nature et cela ne changera sûrement jamais. Finalement, il reprend sa route en direction du dragon qui apparaît à lui quelques minutes plus tard.  Vali ressent toujours ce même sentiment, il se sent petit et terriblement ridicule face à lui. « Tes écailles brillent moins que d’habitude » Un moyen comme ou autre de commencer la conversation, en titillant gentiment celui qui a accepté de lui venir en aide. « Comment vas-tu ? Las de l’humanité ? » Ce n’était pas vraiment le cas de Vali, il aimait l’humanité, il ne se sentait juste pas à sa place. Ni ici, ni la bas, nul par en fait.



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Pitón S. Txomin
Pitón S. Txomin
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Sujet: Re: Les amitiés naissent souvent d'un rien -  Pitón.
Jeu 3 Nov - 20:13


Les amitiés naissent souvent d'un rien.
─ le loup et le dragon ─
Volant à travers le ciel, je finis par me poser à un endroit propice à l'atterrissage. Tout les endroits ne peuvent accueillir un dragon comme ils ne peuvent accueillir un avion. la seule différence avec ces gros engins, c'est qu'en plus de cela, la vue de ma personne pourrait également provoquer la panique à travers tout le pays, chose que je voulais absolument éviter en sachant que j'avais presque renoncé à ma situation de déité. il y a bien longtemps que les basques m'ont oublié, il y a bien longtemps que Dieu m'a détrôné... et il semblerait qu'il s'en amuse aujourd'hui, faisant du dragon une marque infernale et destructrice. Comment les Hommes pouvaient-ils avoir foi en un être tel que celui-là plus que nous ? Ont-ils oubliés les raisons qui faisaient de moi leur maître vénéré ? La nature qui les entoure, ne peuvent-ils tout simplement plus l'accepter ? Et Mari ? Pas Marie ! Mais Mari ! Que des subterfuges pour berner les mortels. Et le pire dans tout ça, c'est qu'il a réussi. Je n'étais plus qu'un semi-monstre, un semi-homme. Un être damné contraint de se cacher pour mieux se dévoiler et d'envelopper une peau humaine la plupart du temps. Aujourd'hui, je profitais de ce coin reculé pour retrouver ma forme initiale tout en levant ma caboche en direction du ciel, admirant la beauté cosmique du monde. Le paysage de la réserve aussi n'est pas si mal que ça non plus. Tout est beau en réalité quand on veut bien le concevoir. Et la Nature elle-même est belle, elle n'a rien a prouver, c'est une évidence. Plus encore lorsqu'elle se nappe de ce manteau d'ivoire immaculé lorsque l'hiver est enfin là. Elle n'est plus seulement belle, elle est aussi magique.

Couché sur le sol de neige glacée, je rêve de Mari, patientant calmement et attendant l'arrivée de mon ami. Vous devez bien vous demander qui pouvait bien être cette personne et qu'elle idée on avait eut pour désirer nous retrouver dans un coin aussi reculé. Et pourtant, quoi de mieux pour les retrouvailles de deux monstrueux. En effet, c'était pas la première fois que je venais m'établir. Jadis, c'était une nouvelle fois après un long voyage dans le ciel, après avoir découvert maintes cultures et désireux de retrouver la belle jeune femme qui m'avait attendue depuis plusieurs jours déjà. Je pensais, cette journée-là, que j'allais rentrée chez moi sans faire la rencontre de personne, et pourtant... Un loup géant avait surgit, avait cherché à me parler pour finalement me bondir dessus afin de me battre. Il me fallut de rien pour l'arrêter, l'écrasant sous ma patte et attendant tout simplement à ce qu'il se calme ou ne prenne peur. Je n'avais pas compris pourquoi il avait réagi de la sorte. Rare étaient les animaux qui osaient me défier lorsque j'arborais ma forme de dragon et voilà qu'il y en avait un assez fou pour goûter à ma viande bien que durement protégée par ma cuirasse. Le molosse m'avait alors fait part de sa rage qui l'habitait et m'avait ainsi demandé si je pouvais donc l'aider pour qu'il puisse se maîtriser. J'aurais pu rejeter sa demande, ayant soudainement l'occasion d'avoir un jugement sur un pauvre hère, homme condamné à être maudit jusqu'à la fin des temps, mais non ; je ne suis pas de ces dieux qui jugent l'innocent et se nourrissent de la souffrance d'autrui. C'est de la pitié que j'avais eus envers lui. Aussi, même sans savoir comment j'allais m'en tirer par la suite, je lui promis de l'aider lors de notre prochaine rencontre. À l'heure où je lui avais parlé, j'avais surtout eu l'envie impérieux de retrouver Mari qui m'avait manqué.

Mais chose promise, chose faite, j'avais ainsi retrouvé le jeune garçon, la fois suivante, afin de l'aider à modérer ses actions sous sa forme de loup. Toujours je venais en tant que dragon afin d'éviter le drame, puisqu'en tant qu'humain, il n'aurait certainement plus aucune difficulté pour me faire du mal et même me tuer. Aplati sur le sol, j'attendais donc simplement à ce qu'il pointe le bout de son museau, toujours aussi ambitieux dans l'idée de le sauver de sa malédiction mais aussi également heureux de retrouver un ami. L'animal finit par arriver au trot et pris même la parole le premier. ≪ - Tes écailles brillent moins que d’habitude. ≫ me tordant le cou pour les regarder, ma peau se tend afin de les hérisser et de les exhiber fièrement. Un moyen de lui prouver qu'il a tord en les plaçant juste sous son nez. D'autant plus que le contraste entre mon squame charbon et la neige blanche doit donner un rendu des plus admirables sur le tableau. Néanmoins, je m'autorise un sourire carnassier et amusé face à sa réflexion. Il enchaîne. ≪ - Comment vas-tu ? Las de l’humanité ? ≫ Ah, l'Humanité ! Si fragile et pourtant si apte à nous condamner à la déchéance ! Tandis que nous avions besoin de la grandeur pour exister, eux, il ne leur suffisait que d'un peu de nourritures et un peu d'eau. Avaient-ils besoin de nous ? Non. Aujourd'hui, ils prouvaient qu'ils n'avaient besoin de personne. Que même, ils pouvaient être des dieux pour eux-même, s'ils le voulaient. C'était incroyable, fascinant... Aussi je ne pouvais me permettre de me lasser de ces pauvres mortels. Ils ne m'aimaient plus, mais ce n'était pas leur faute. Leur combat n'était pas le leur. ≪ - Je vais bien, et toi ? ≫ fis-je alors dans un premier temps d'une voix calme. ≪ - Je ne me lasse aucunement des humains... Je reviens d'un voyage même. d'une contrée peuplée. ≫ finis-je par rajouter, heureux de partager une telle expérience à une autre personne que moi. Certes, c'était avant tout pour les paysages que je voyageais, mais je trouvais que le contact humain n'était pas si mauvais. qu'importe comment les autres dieux les considéraient, moi je pensais que le mieux pour nous dorénavant, c'était de nous habituer à cette nouvelle existence. ≪ - Comment te sens-tu depuis notre dernière rencontre ? ≫ le questionnais-je finalement, changeant de sujet afin de me concentrer sur la raison de notre réunion sauvage.
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Søren Madsen
Søren Madsen
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Sujet: Re: Les amitiés naissent souvent d'un rien -  Pitón.
Ven 4 Nov - 19:36





Les amitiés naissent souvent d'un rien


Rares sont les gens en qui Soren arrive à accorder sa confiance, encore moins envers les dieux. Il n’oublie pas ce qui lui est arrivé, ni d’où cette malédiction lui vient. Enfant, il avait passé bons nombres d’heures à espionner Odin. L’homme l’intriguait, il était puissant, fort, respecté, tout ce qui plaisait à un enfant et en plus, il n’hésitait pas à le prendre sur ses genoux, pour lui raconter des histoires sensationnelles et autant dire que Vali adorait les histoires. Il les adore toujours autant d’ailleurs, ce qui explique sa présence très régulière dans la plus grande bibliothèque de la ville. Il ne lit quasiment que des romans d’aventure, pas de policiers, ni de romances, tout simplement parce qu’il ne croit pas en l’amour et qu’il a vécu assez de souffrances pour lire des livres qui en sont gorgés. Les romans d’aventures ont quelque chose de magique et peut-être que cela lui rappelle l’époque où il se trouvait encore sur Asgard. Si Vali avance dans cette neige épaisse, ce n’est pas par plaisir, mais par obligation, bien qu’il apprécie retrouver Piton. Disons qu’il n’aurait jamais à faire ça, si Odin ne l’avait pas maudit, tout d’abord transformé en Loup et sous l’incapacité de Vali à faire preuve de violence, maudit pour être emparé d’une rage sans nom le rendant incapable de se retenir pour ne pas dévorer son frère. Vali en voulait aux Dieux, à Odin, mais cela n’était rien face à la haine qu’il éprouvait envers son propre créateur. Son père, le dieu des larcins répondant au nom de Loki. Celui qui avait été la raison de tout ça, par sa folie, son envie de puissance, il avait détruit sa propre famille. En tuant le fils chéri d’Odin et par la même, le dieu préféré de Vali, à savoir Balder, il avait été le déclencheur de la folie des Dieux qui pour le punir s’était tout simplement venger sur la seule chose qu'il possédait et envers laquelle il possédait de l’attachement: sa famille. Sa transformation n’était pas anodine, c’était lui qu’Odin avait choisi de transformer et pas Narfi. Il avait fait le choix le plus judicieux pour que Loki souffre. Tuer Vali n’aurait servi à rien, son père l’appréciant peu, à vrai dire, il croit même qu’il l’a toujours détesté, pour être tout ce qu’il n’était pas. Candide, rêveur, apte à la bonté, incapable de mentir, passionné par les humains, Vali n’avait rien du fils de Loki. Il ne lui ressemblait pas, alors que Narfi était son parfait successeur. Ainsi, Odin décida de tuer le fils chéri de Loki en laissant vivre le détesté, lui offrant un pouvoir considérable et irraisonné, le maudissant pour faire souffrir Sigyn la femme de Loki, pensant entraîner sa colère. Bien pensé, mais il avait fait erreur sur l’amour que portait sa mère à son père, jamais elle ne l’abandonna, au grand désespoir de Vali qui l’observait de loin prendre soin de cet homme qu’il détestait tant.

Les années s’étaient écoulées, puis des siècles et enfin des millénaires. Aujourd’hui, l’ancien ase évoluait avec aisance dans la neige fraîchement tombée pour apparaître avec toute sa splendeur devant le dragon légendaire. Si Vali appréciait tant Piton, c’était sûrement parce qu’il trouvait en lui une présence paternelle que son père lui avait toujours refusée et finalement peut-être qu’il en avait plus besoin qu’il ne le pensait. Il était clair qu’il avait besoin d’aide pour réussir à se sortir de tout ça. La divinité qui se trouvait en face de lui, lui permettait de faire exploser sa rage, sans craindre de blesser quelqu'un, Piton pouvait répondre à chacune de ses attaques. Au pire Vali risquait juste de lui rayer ses écailles. Non, celui qui encourrait le plus de risques, finalement, c’était lui, mais le dragon était sage et habile. Depuis le début de leurs entraînements, hormis des bleus, il n’avait jamais rien eu de plus grave.

C’est amusé que Soren observe le dragon se regarder les écailles. En vérité, elles sont étincelantes et cela est encore plus frappant sur la neige. Heureusement qu’Odin l’a transformé en loup, il préfère ne pas imaginer les dégâts que peuvent produire un tel animal. Il était sûrement capable de détruire des villes, mais heureusement, il était finalement assez placide. - je vais bien, et toi ? Le loup acquiesce. « J’ai retrouvé ma mère, enfin… je l’ai aperçu, mais je n’ai pas osé aller à sa rencontre. » Il craignait trop la réaction de celle-ci. ≪ - je ne me lasse aucunement des humains... je reviens d'un voyage même. d'une contrée peuplée. ≫ Il penche la tête, curieux, comme un enfant, il aime les histoires, surtout celle qu’il parle de contrées qu’il ne connait pas. « D’où ? Je n’ai jamais vraiment eu la possibilité de m’envoler pour découvrir d’autres lieux… » Puis, les transports en commun, ce n'était pas trop son truc. ≪ - comment te sens-tu depuis notre dernière rencontre ? ≫ Par instinct, il se met à gratter le sol avec une de ses pattes, il sait bien que cela ne sert à rien, mais ça l’amuse et cela lui permet aussi de déterrer une noix qu’il ne met pas longtemps à engloutir. Elle croque sous ses dents et il avale le tout sans aucune hésitation. «Hmm , j’ai tué personne, ce qui est déjà bien, j’ai même réussi à ne pas planter mes crocs dans une biche en venant par ici et je peux te dire qu’elle était en tout points délicieuse. » En y pensant, il se lèche même les babines, dévoilant sa dentition parfaite pour un prédateur, mais bien moins impressionnante que celle du Dragon. « C’est mieux, mais je sens que je risque de perdre le contrôle quand les choses sont difficiles à gérer, c’est comme s’il voulait sortir pour me défendre… » Étrange, mais pourtant véridique.


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